En réalité, il ne s'agit pas d'une "balade", mais d'un authentique exploit réalisé par une femme d'exception. Son étrange couvre-chef devrait vous aider à identifier cette femme d'exception.
Petitpierre est de retour et commence bien avec son très beau portrait On dirait un coiffe tibétaine? Ne serait ce pas Alexandra David-Néel (1868-1969)
Voilà ce qu'en dit le www routard: "La route ne me semble captivante que si j'ignore le but où elle me conduit" Dès son adolescence, Alexandra David-Néel ne pense qu?à voyager et s?échappe à plusieurs reprises du foyer familial. Après des études de musique, la jeune fille se plonge dans l?étude de la philosophie bouddhiste et suit des cours sur le Tibet au Collège de France. Grâce à un héritage, elle part pour l?Inde en 1891. Elle en revient envoûtée. S?étant lancée dans une carrière de chanteuse lyrique, elle se marie, à 36 ans, avec Philippe Néel. Mais la vie sédentaire d?épouse ne lui convient guère. Devenue journaliste, elle repart pour l?Inde en 1911. Elle n?en reviendra que 14 ans plus tard? Elle parcourt des milliers de kilomètres à travers l?Extrême-Orient et une grande partie de l?Asie centrale. Voyageuse érudite, elle perfectionne sa maîtrise du sanskrit et du tibétain, multiplie les rencontres avec les plus grands penseurs. En 1924 et après plusieurs tentatives malheureuses, l?aventurière parvient à gagner Lhassa. Cet exploit la rendra célèbre dans toute l?Europe. Quatre ans plus tard, Alexandra Daid-Néel rentre en France et s?installe à Digne, en Provence. Elle y construit sa forteresse de la méditation, Samten-Dzong. Centenaire, elle espère encore repartir pour le Tibet et demande même le renouvellement de son passeport ! Elle décède quelques mois plus tard.
Oui Bounty! Alexandra David-Néel! A cette époque (1924), Lhassa était une cité interdite aux étrangers. Elle parvint à y entrer, grimée en mendiante, et avec l'aide de son guide et unique compagnon, le jeune lama Yongden (qu'elle adopta plus tard). La route vers Lhassa ne fut pas une "balade". Alexandra David-Néel et son compagnon s'égarèrent plusieurs fois dans les montagnes, et ne parvinrent à survivre que par miracle au froid et à la faim!
Et oui, Grmbl! Les aventures de "Jonathan" se déroulent dans la même région! Je serais curieux de savoir à quel point l'aventure d'Alexandra David-Néel a inspiré Cosey.
Chuis très content de refaire des Petit-pierre... Et il m'intrigue beaucoup, ce hanjie, en ce qui concerne la difficulté "4". Comme on le sait, la difficulté est déterminée par le nombre de cases noires + un pourcentage de "séquences"... et à vue d'oeil j'aurais juré un "5" facile en apercevant labels. Dans le fond ça n'a aucune importance, mais comme j'en ai fait plus de 200 de suite, des "5", c'est un truc qui m'intrigue à chaque fois....
On aura beau me dire qu'il "suffit" d'utiliser la fonction "Créer à partir d'une image" avec une bonne photo noir et blanc, on ne m'enlèvera pas de l'idée qu'il y a aussi beaucoup de magie dans les portraits de Petitpierre :)
On dirait un coiffe tibétaine?
Ne serait ce pas Alexandra David-Néel (1868-1969)
"La route ne me semble captivante que si j'ignore le but où elle me conduit"
Dès son adolescence, Alexandra David-Néel ne pense qu?à voyager et s?échappe à plusieurs reprises du foyer familial. Après des études de musique, la jeune fille se plonge dans l?étude de la philosophie bouddhiste et suit des cours sur le Tibet au Collège de France.
Grâce à un héritage, elle part pour l?Inde en 1891. Elle en revient envoûtée. S?étant lancée dans une carrière de chanteuse lyrique, elle se marie, à 36 ans, avec Philippe Néel. Mais la vie sédentaire d?épouse ne lui convient guère. Devenue journaliste, elle repart pour l?Inde en 1911. Elle n?en reviendra que 14 ans plus tard?
Elle parcourt des milliers de kilomètres à travers l?Extrême-Orient et une grande partie de l?Asie centrale. Voyageuse érudite, elle perfectionne sa maîtrise du sanskrit et du tibétain, multiplie les rencontres avec les plus grands penseurs. En 1924 et après plusieurs tentatives malheureuses, l?aventurière parvient à gagner Lhassa. Cet exploit la rendra célèbre dans toute l?Europe.
Quatre ans plus tard, Alexandra Daid-Néel rentre en France et s?installe à Digne, en Provence. Elle y construit sa forteresse de la méditation, Samten-Dzong. Centenaire, elle espère encore repartir pour le Tibet et demande même le renouvellement de son passeport ! Elle décède quelques mois plus tard.
Alexandra David-Néel!
A cette époque (1924), Lhassa était une cité interdite aux étrangers. Elle parvint à y entrer, grimée en mendiante, et avec l'aide de son guide et unique compagnon, le jeune lama Yongden (qu'elle adopta plus tard).
La route vers Lhassa ne fut pas une "balade". Alexandra David-Néel et son compagnon s'égarèrent plusieurs fois dans les montagnes, et ne parvinrent à survivre que par miracle au froid et à la faim!
Et il m'intrigue beaucoup, ce hanjie, en ce qui concerne la difficulté "4". Comme on le sait, la difficulté est déterminée par le nombre de cases noires + un pourcentage de "séquences"... et à vue d'oeil j'aurais juré un "5" facile en apercevant labels.
Dans le fond ça n'a aucune importance, mais comme j'en ai fait plus de 200 de suite, des "5", c'est un truc qui m'intrigue à chaque fois....
(si, si, je suis sérieuse ! Ca m'arrive !)
bravo et merci !