Novecento: pianiste 48

Et toutes ces choses-là, pourtant, c'était comme s'il les avait vues. Novecento, tu lui disais "Une fois j'ai été à Paris", et il te demandait si tu avais vu les jardins de machin-truc, il te disait: " Ce que j'aime, là-bas, c'est attendre le coucher du soleil en me baladant sur le Pont-Neuf, et quand les péniches passent, m’arrêter et les regarder d'en-haut, et leur faire un signe de la main.
-Mais tu y es déjà allé, à Paris, Novecento?
-Non.
-Alors...
-C'est-à-dire...si.
-Comment ça, si?
-Paris."
Alessandro Baricco

Identifiez-vous pour jouer

Commentaires