Maître sans grade

Né le 10 décembre 1860 à Mikage (Japon) et mort le 4 mai 1938 en bateau, il est le fondateur du judo kodokan, premier art martial japonais à avoir obtenu une reconnaissance internationale et le premier à avoir intégré les Jeux olympiques.

Très appliqué, persévérant et soucieux de techniques, il maîtrise rapidement dans sa jeunesse plusieurs styles de ju-jitsu avant de fonder, en 1882, le Kōdōkan, « Bâtiment pour l'Enseignement de la Voie » fondé sur les principes des sports modernes dans le temple Eishoji à Tokyo.

Fameux éducateur, on lui doit des innovations pédagogiques telles que l'utilisation des ceintures noires et blanches, et l'introduction du système des grades Dan pour marquer la différence de niveau entre pratiquants d'un art martial.

Les maximes suivantes lui sont généralement attribuées : « Minimum d’effort, maximum d’efficacité » et « Entraide et prospérité mutuelle ».

J'imagine que nombre d'entre vous ont deviné de qui il s'agit. Probablement dès le premier paragraphe.
La découverte de son portrait ne devrait vous prendre que quelques minutes.
Celui-ci figure en bonne place sur le kamiza des dojos traditionnels.
Ce Hanji est en effet très facile cette fois comparativement aux deux portraits des maîtres de Go particulièrement coriaces publiés ces derniers jours.
Il en faut pour tout le monde...

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