Je remets la description en français qui a mystérieusement disparu à la mise en ligne...
Né à Vérone en 1547 et mort à Florence en 1627 est un peintre, dessinateur, ornemaniste et enlumineur italien de l'école florentine.
Invité, il s'installe à Florence, où il devient l'un des artistes les plus marquants de la cour des Médicis. À la mort de Giorgio Vasari, en 1574, il le remplace à la tête de l'Académie du dessin de Florence et devient l'artiste en chef de l'atelier granducal, superintendant de la Galerie, premier peintre de la cour, servant François Ier, Ferdinand Ier, Cosme II et Ferdinand II, grands-ducs de Toscane. Rompant avec le maniérisme alors en vogue, il s'inspire de la nature et de ses merveilles (animaux et végétaux confondus), qu'il traduit par un foisonnement visuel : motifs végétaux, cartouches avec masques ou symboles macabres, scènes bibliques ou allégories le plus souvent rehaussés d’or. Son dessin est dense, précis, très maîtrisé, avec des détails méticuleux.
Ce qui précède est tiré de Wikipedia.
Je rajoute qu'il fut congédié pour avoir offert un tableau religieux à une confrérie monacale sans en avoir demandé l'autorisation à son mécène de Médicis. Désormais, il n'eut d'autre choix pour gagner sa vie que d'abandonner ses sujets de prédilection pour se consacrer à la peinture religieuse pour laquelle les nombreuses institutions religieuses pouvaient le rémunérer...
Cet hanjie m'a bien sûr été inspiré par la série florentine de Serban, merci à lui !
Né à Vérone en 1547 et mort à Florence en 1627 est un peintre, dessinateur, ornemaniste et enlumineur italien de l'école florentine.
Invité, il s'installe à Florence, où il devient l'un des artistes les plus marquants de la cour des Médicis. À la mort de Giorgio Vasari, en 1574, il le remplace à la tête de l'Académie du dessin de Florence et devient l'artiste en chef de l'atelier granducal, superintendant de la Galerie, premier peintre de la cour, servant François Ier, Ferdinand Ier, Cosme II et Ferdinand II, grands-ducs de Toscane. Rompant avec le maniérisme alors en vogue, il s'inspire de la nature et de ses merveilles (animaux et végétaux confondus), qu'il traduit par un foisonnement visuel : motifs végétaux, cartouches avec masques ou symboles macabres, scènes bibliques ou allégories le plus souvent rehaussés d’or. Son dessin est dense, précis, très maîtrisé, avec des détails méticuleux.
Ce qui précède est tiré de Wikipedia.
Je rajoute qu'il fut congédié pour avoir offert un tableau religieux à une confrérie monacale sans en avoir demandé l'autorisation à son mécène de Médicis. Désormais, il n'eut d'autre choix pour gagner sa vie que d'abandonner ses sujets de prédilection pour se consacrer à la peinture religieuse pour laquelle les nombreuses institutions religieuses pouvaient le rémunérer...
Cet hanjie m'a bien sûr été inspiré par la série florentine de Serban, merci à lui !
Euh, que dire?
Parfaitement parfait! ;)