La charge de la cavalerie Française emporta les batteries d'artillerie Anglaises, mais se heurta à l'infanterie formée en carrés.
Wellington lui-même s'était réfugié au milieu d'un carré de guards britanniques.
Les cavaliers Français chargeaient, se repliaient, se regroupaient, et chargeaient encore...
(et série haletante, même si on sait la fin...)
Cependant, aucun carré Anglais ne céda. L'infanterie, parfaitement organisée en trois rangs, tenait bon. Le premier rang, un genou à terre, avait planté la crosse de son fusil dans le sol et tenait ainsi sa baïonnette en l'air, prête à percer le flanc d'un cheval. Le deuxième rang tirait, tandis que le troisième rechargeait. De plus, les chevaux morts qui s'accumulaient servaient de protection supplémentaire.
Ney eut plusieurs chevaux tués sous lui. Il faisait preuve d'un courage suicidaire. Sans doute avait-il compris quel serait son sort en cas de défaite...