Le bateau l’Émilie, de Porto-Vecchio, à bord duquel j’ai fait ce lugubre voyage aux îles Lavezzi, était une vieille embarcation de la douane, à demi pontée, où l’on n’avait, pour s’abriter du vent, des lames, de la pluie, qu’un petit rouf goudronné, à peine assez large pour tenir une table et deux couchettes. Aussi il fallait voir nos matelots par les gros temps.
Alphonse Daudet
et une nouvelle série
quelle belle soirée ! ;)
Et si l'histoire commence un peu dans la déprime, le dessin est, lui, formidable !