Le curé de Cucugnan 9

Et je cheminai… je cheminai ! Quelle battue ! J’ai la chair de poule, rien que d’y songer. Un petit sentier, plein de ronces, d’escarboucles qui luisaient et de serpents qui sifflaient, m’amena jusqu’à la porte d’argent.
Pan ! pan !
« – Qui frappe ? me fait une voix rauque et dolente.
– Le curé de Cucugnan.
– De… ?
– De Cucugnan.
– Ah !… Entrez. »
Alphonse Daudet

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