Il s’était dit, le pauvre enfant : « Je l’aime trop… Je m’en vais… » Ah ! misérables cœurs que nous sommes ! C’est un peu fort pourtant que le mépris ne puisse pas tuer l’amour !…
Ce matin-là, les gens du village se demandèrent qui pouvait crier ainsi, là-bas, du côté du mas d’Estève…
C’était, dans la cour, devant la table de pierre couverte de rosée et de sang, la mère toute nue qui se lamentait, avec son enfant mort sur ses bras.
Alphonse Daudet
Parfois, c'est encore pire, ça se termine par un mariage! :D
Mais c'est aussi ça la vie, des drames parfois.
Merci Fabdan.
Merci
Bravo !