3 mars 1916 (suite)
...Le but approche, mais nous sommes à bout de souffle, quelques hommes ont abandonné leurs sacs. Quelques secondes à plat ventre permettent de reprendre haleine. La mitrailleuse allemande s'est tue, elle a dû être reportée un peu à l'arrière. on repart. les Boches de première ligne jettent leurs armes, lèvent les bras en criant: "Kameraden"...
Lucien Gissinger
Merci pour cette scène d'un réalisme saisissant, bravo.