"Je ramènerai l'usurpateur dans une cage de fer". C'est sur cette promesse au roi Louis XVIII que le maréchal Ney partit à la rencontre de Napoléon pour l'arrêter...
Né d'une famille modeste, le "rougeaud" est un officier issu de la révolution. Il fait partie de la première promotion des maréchaux d'empire et participe à la tête de ses troupes aux principales campagnes (à cette époque, les généraux étaient encore de vrais chefs qui risquaient leur vie à la tête de leurs hommes). On peut citer quelques batailles: Elchingen (1805), où, en pointe de la Grande Armée, Ney referme le piège qui poussera les Autrichiens à déposer les armes à Ulm. Iéna (1806), Eylau (1807) où son arrivée sur les arrières des Russes les poussent à se replier alors qu'ils étaient sur le point de vaincre Napoléon. Friedland, où le corps de Ney traverse les lignes Russes pour prendre les ponts qui étaient leurs seules voies de retraite (ce qui fit dire à Napoléon: "cet homme est un lion!"). Mais son chef-d'oeuvre a été son commandement de l'arrière-garde lors de la terrible retraite de Russie (1812). En 1814, lors de l'abdication de Napoléon, Ney, le "brave des braves", s'empresse de jurer fidélité au roi. Au retour de Napoléon en 1815, il retourne vite sa veste et s'incline devant son empereur... Il va jouer un rôle majeur dans la nouvelle guerre qui se prépare.
Un bon soldat n'est a priori pas fait pour être un politique. C'est Clémenceau qui, un siècle plus tard, dira que la guerre est une chose trop sérieuse pour être laissée aux militaires ^^.
(derrière cette phrase simple se cache un brillant calembour...)
On peut citer quelques batailles: Elchingen (1805), où, en pointe de la Grande Armée, Ney referme le piège qui poussera les Autrichiens à déposer les armes à Ulm. Iéna (1806), Eylau (1807) où son arrivée sur les arrières des Russes les poussent à se replier alors qu'ils étaient sur le point de vaincre Napoléon. Friedland, où le corps de Ney traverse les lignes Russes pour prendre les ponts qui étaient leurs seules voies de retraite (ce qui fit dire à Napoléon: "cet homme est un lion!"). Mais son chef-d'oeuvre a été son commandement de l'arrière-garde lors de la terrible retraite de Russie (1812).
En 1814, lors de l'abdication de Napoléon, Ney, le "brave des braves", s'empresse de jurer fidélité au roi.
Au retour de Napoléon en 1815, il retourne vite sa veste et s'incline devant son empereur... Il va jouer un rôle majeur dans la nouvelle guerre qui se prépare.
Dandan, j'avoue que je n'ai pas compris ce calembour...
Pfff, même pas vrai, c'est juste pour faire un jeu d'mots laid.
(les miens au moins on les comprend héhé)
Quant à Petit-Pierre, je n'ai pas envie d'expliquer mon calembour sur le maréchal.... (encore waf warff!!!!)
merci,c'est de toute beauté!